Portugal / France pour la 1/2 finale ?
Image 'trouvé' dans Les Cahiers du Foot, un magazine de Foot et d'eau fraîche
Un journal particulier...
Il est au foot ce que le canard enchaîné est à la politique.
en vente dans pas beaucoup de librairie
Mardi il en restait 4 à la Presse du Nouvel Intermarché route de Moret à Nemours
Le site des cahiers
Peut être l'ambiance n'y était pas, et puis prendre en photo une équipe hybride moitié Portugais de Fontainebleau, moitié des bonnes volontés des équipes adverses troquants au pied levé le maillot noir et blanc des titulaires absents sans explication...
Dommage car la pelouse du stade était parfaite et le soleil au rendez vous ainsi que la buvette etc...
Consolation, les intérimaires remplaçants étaient bons et ont marqués de nombreux buts.
Football et prostitution : une bonne raison
d’aller en Allemagne voir la croupe du
Monde ?
"Qui l’aurait cru ? Pourtant, c’est
la vérité. La Coupe du monde de football, événement
sportif officiel s’il en est, les JO du foot en
quelque sorte, est aussi un événement
prostitutionnel. Donc un marché lucratif. On vendra
du sexe et des corps humains en même temps que des
boissons, des places d’hôtel, etc. Cela se
passera du 9 juin au 9 juillet dans douze villes
allemandes. 36 millions de spectateurs attendus. La
prostitution est légalisée en Allemagne depuis 2002.
Des milliers de touristes vont affluer.
L’industrie du sexe allemande est donc en train
« d’investir » et d’ériger un
gigantesque complexe prostitutionnel. Un méga bordel
de 3 000 mètres carrés, capable d’accueillir
650 clients à la fois, va s’ouvrir, avec des
zones clôturées, des cabines, etc. 40 000 femmes
pourraient être « importées »
d’Europe centrale et de l’Est pour
répondre au marché.
Dés la coupe du monde terminé, Zizou le jeune retraité signe chez les vétérans du Portugais de Fontainebleau.
En 1863, dans
l’ambiance enfumée et virile de la
Freemason’s Tavern de Londres, pressentant sans
doute que l’homme était questionné par le
darwinisme naissant, l’industrialisation
massive et les conquêtes coloniales, les
représentants des meilleurs collèges anglais se
mirent d’accord pour pratiquer et promouvoir un
jeu reposant tout entier sur la disparition de la
main. L’expansion fulgurante et durable
d’un sport qui oblige les joueurs à faire usage
de ce qu’il y a en eux de plus malhabile, ainsi
que le succès d’un marché qui organise le
spectacle du pied, ne sont pas des hasards de
l’Histoire. Car il fut un temps où l’on
interdisait à quelques centaines de personnes de
s’entretuer pour la possession d’un objet
vaguement sphérique (à Kingston-on-Thames on raconte
que la première partie se joua avec la tête
d’un prince décapitée) et de ravager une ville
pour fêter l’arrivée du carême. [Londres 1315].
Car il fut un temps -presque le nôtre- où l’on
autorisait des millions de téléspectateurs à se
réjouir qu’un petit homme rond et cocaïné
(Maradona) invoque « la main de Dieu ».
[Mexico, 1986]. Entre Londres et Mexico, le football
a eu le génie d’inventer « l’homme
qui a des mains à la place des pieds ».
LA CONTROVERSE PIED/MAINHypothèses sur
l’histoire du footballXavier de La PorteLivre
de 64 pages.
MILAN CORRESPONDANCE
Andrea Pirlo tire sur Clarence Seedorf. Filippo Inzaghi rampe dans les sous-bois et rejoint furtivement son groupe. Kaka, Dida et Cafu se dissimulent derrière les buissons pour préparer une embuscade à leurs ennemis. De la science-fiction ? Non, du team building.
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Guillaume Prébois
Article paru dans l'édition du 04.04.06
www.lemonde.fr